La mort plutôt que l’humiliation. Pareil titre hérité du printemps syrien de 2011, laissait craindre un disque douloureux, mais dès les premières secondes, une flûte alanguie dissipe le malaise : c’est du jazz que la jeune musicienne d’origine syrienne a enregistré. Un jazz instrumental pétri d’influences orientales, un jazz épique et épicé, qui fait souffler le vent de l’histoire à travers hommes et instruments, mais, finalement, du jazz… Et du bon ! A/R 35
Album Almot Wala Almazala (Les couleurs du son)
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=U1PSbics6KI[/youtube]